Les derniers cas de méningites en France
- aRDECHE : Encore un cas de méningite Mortel dans un lycée
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- DEUX-SEVRES : cas de méningite Mortel au lycée de Niort
- aRDECHE : Encore un cas de méningite Mortel dans un lycée
- PYRENNES-ATLANTIQUES : cas de méningite au lycée d'oloron
- MAYENNE : cas de méningite à l'école publique d' Azé
- EURE : une petite fille fourdroyée par une méningite à Evreux
- SOMME : une adolescente de 13 ans meurt d'une méningite foudroyante
- DIJON : cas de méningite mortel
- SAINT-QUENTIN-dE-BARON : cas de méningite chez un enfant
- BEAUVAIS : cas de méningite Bactérienne au lycée Truffaut
- DINAN : Deux cas de méningite détectés dans un lycée
- ORLEANS: une lycéenne décède brutalement
- NORTKERQUE : Cas dans une école du Pas-de-calais
- GARBEJAIRE : Cas de méningite dans une école azuréenne
- ROMILLY SUR SEINE : Cas de méningite
- BRETAGNE : une fillette de 5 ans succombe à une méningite
- CHÂLONS EN CHAMPAGNE : Cas d'une fillette de 2 ans
- RHONE ALPES : Cas détecté dans une maternelle
- CORSE : Un bébé de 3 mois meurt suite à une méningite
- CHARENTE MARITIME : Un bébé de 7 mois succombe à une méningite
- LYON : Un cas de méningite dans une maternelle
- DROME : Un trentenaire décède d'une méningite !
aRDECHE : Encore un cas de méningite Mortel dans un lycée
L'Agence régionale de santé a invité l'ensemble des personnes (évaluées à au moins 80) à être potentiellement entrées en contact "proche et prolongé" avec cette lycéenne à suivre un traitement antibiotique.Il s'agit notamment des proches, de ses camarades à l'internat et des membres de son club de basket à Hauterives.
Plus largement, l'ARS précise "une information est actuellement faite auprès de l'ensemble des parents dont les enfants ont été en contact avec cette jeune fille à l'école et à son club de sport"
Le méningocoque est un germe fragile qui ne survit pas dans le milieu extérieur.
L’infection à méningocoque est une maladie qui est rare * en France mais qui peut être grave. Il existe plusieurs sérogroupes (A, B, C, Y, W135…).
Elle se transmet directement d’une personne à une autre à partir de ces sécrétions (postillons, toux, etc.). L'incubation varie de 3 à 10 jours en moyenne. Elle touche essentiellement les enfants et les adolescents et survient, le plus souvent, du début de l’hiver et au printemps.
L'infection à méningocoque se manifeste principalement par de la fièvre élevée, des maux de tête, souvent accompagnés de vomissements. Parfois des tâches rouges ou violacées (purpura) peuvent apparaître sur le corps = URGENCE
Bien que le risque de transmission soit faible, il justifie la mise en oeuvre d'un traitement préventif pour les personnes en contact proche, étroit, complété par une vaccination selon le sérogroupe de la bactérie et le statut vaccinal de la personne.
OBSERVATIONS / RECTIFICATIONS :
aRDECHE : Encore un cas de méningite Mortel dans un lycée
L'Agence régionale de santé a invité l'ensemble des personnes (évaluées à au moins 80) à être potentiellement entrées en contact "proche et prolongé" avec cette lycéenne à suivre un traitement antibiotique.Il s'agit notamment des proches, de ses camarades à l'internat et des membres de son club de basket à Hauterives.
Plus largement, l'ARS précise "une information est actuellement faite auprès de l'ensemble des parents dont les enfants ont été en contact avec cette jeune fille à l'école et à son club de sport"
Le méningocoque est un germe fragile qui ne survit pas dans le milieu extérieur.
L’infection à méningocoque est une maladie qui est rare * en France mais qui peut être grave. Il existe plusieurs sérogroupes (A, B, C, Y, W135…).
Elle se transmet directement d’une personne à une autre à partir de ces sécrétions (postillons, toux, etc.). L'incubation varie de 3 à 10 jours en moyenne. Elle touche essentiellement les enfants et les adolescents et survient, le plus souvent, du début de l’hiver et au printemps.
L'infection à méningocoque se manifeste principalement par de la fièvre élevée, des maux de tête, souvent accompagnés de vomissements. Parfois des tâches rouges ou violacées (purpura) peuvent apparaître sur le corps = URGENCE
Bien que le risque de transmission soit faible, il justifie la mise en oeuvre d'un traitement préventif pour les personnes en contact proche, étroit, complété par une vaccination selon le sérogroupe de la bactérie et le statut vaccinal de la personne.
OBSERVATIONS / RECTIFICATIONS :
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L'Agence régionale de santé a invité l'ensemble des personnes (évaluées à au moins 80) à être potentiellement entrées en contact "proche et prolongé" avec cette lycéenne à suivre un traitement antibiotique.Il s'agit notamment des proches, de ses camarades à l'internat et des membres de son club de basket à Hauterives.
Plus largement, l'ARS précise "une information est actuellement faite auprès de l'ensemble des parents dont les enfants ont été en contact avec cette jeune fille à l'école et à son club de sport"
Le méningocoque est un germe fragile qui ne survit pas dans le milieu extérieur.
L’infection à méningocoque est une maladie qui est rare * en France mais qui peut être grave. Il existe plusieurs sérogroupes (A, B, C, Y, W135…).
Elle se transmet directement d’une personne à une autre à partir de ces sécrétions (postillons, toux, etc.). L'incubation varie de 3 à 10 jours en moyenne. Elle touche essentiellement les enfants et les adolescents et survient, le plus souvent, du début de l’hiver et au printemps.
L'infection à méningocoque se manifeste principalement par de la fièvre élevée, des maux de tête, souvent accompagnés de vomissements. Parfois des tâches rouges ou violacées (purpura) peuvent apparaître sur le corps = URGENCE
Bien que le risque de transmission soit faible, il justifie la mise en oeuvre d'un traitement préventif pour les personnes en contact proche, étroit, complété par une vaccination selon le sérogroupe de la bactérie et le statut vaccinal de la personne.
OBSERVATIONS / RECTIFICATIONS :
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L'Agence régionale de santé a invité l'ensemble des personnes (évaluées à au moins 80) à être potentiellement entrées en contact "proche et prolongé" avec cette lycéenne à suivre un traitement antibiotique.Il s'agit notamment des proches, de ses camarades à l'internat et des membres de son club de basket à Hauterives.
Plus largement, l'ARS précise "une information est actuellement faite auprès de l'ensemble des parents dont les enfants ont été en contact avec cette jeune fille à l'école et à son club de sport"
Le méningocoque est un germe fragile qui ne survit pas dans le milieu extérieur.
L’infection à méningocoque est une maladie qui est rare * en France mais qui peut être grave. Il existe plusieurs sérogroupes (A, B, C, Y, W135…).
Elle se transmet directement d’une personne à une autre à partir de ces sécrétions (postillons, toux, etc.). L'incubation varie de 3 à 10 jours en moyenne. Elle touche essentiellement les enfants et les adolescents et survient, le plus souvent, du début de l’hiver et au printemps.
L'infection à méningocoque se manifeste principalement par de la fièvre élevée, des maux de tête, souvent accompagnés de vomissements. Parfois des tâches rouges ou violacées (purpura) peuvent apparaître sur le corps = URGENCE
Bien que le risque de transmission soit faible, il justifie la mise en oeuvre d'un traitement préventif pour les personnes en contact proche, étroit, complété par une vaccination selon le sérogroupe de la bactérie et le statut vaccinal de la personne.
OBSERVATIONS / RECTIFICATIONS :
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L'Agence régionale de santé a invité l'ensemble des personnes (évaluées à au moins 80) à être potentiellement entrées en contact "proche et prolongé" avec cette lycéenne à suivre un traitement antibiotique.Il s'agit notamment des proches, de ses camarades à l'internat et des membres de son club de basket à Hauterives.
Plus largement, l'ARS précise "une information est actuellement faite auprès de l'ensemble des parents dont les enfants ont été en contact avec cette jeune fille à l'école et à son club de sport"
Le méningocoque est un germe fragile qui ne survit pas dans le milieu extérieur.
L’infection à méningocoque est une maladie qui est rare * en France mais qui peut être grave. Il existe plusieurs sérogroupes (A, B, C, Y, W135…).
Elle se transmet directement d’une personne à une autre à partir de ces sécrétions (postillons, toux, etc.). L'incubation varie de 3 à 10 jours en moyenne. Elle touche essentiellement les enfants et les adolescents et survient, le plus souvent, du début de l’hiver et au printemps.
L'infection à méningocoque se manifeste principalement par de la fièvre élevée, des maux de tête, souvent accompagnés de vomissements. Parfois des tâches rouges ou violacées (purpura) peuvent apparaître sur le corps = URGENCE
Bien que le risque de transmission soit faible, il justifie la mise en oeuvre d'un traitement préventif pour les personnes en contact proche, étroit, complété par une vaccination selon le sérogroupe de la bactérie et le statut vaccinal de la personne.
OBSERVATIONS / RECTIFICATIONS :
aRDECHE : Encore un cas de méningite Mortel dans un lycée
L'Agence régionale de santé a invité l'ensemble des personnes (évaluées à au moins 80) à être potentiellement entrées en contact "proche et prolongé" avec cette lycéenne à suivre un traitement antibiotique.Il s'agit notamment des proches, de ses camarades à l'internat et des membres de son club de basket à Hauterives.
Plus largement, l'ARS précise "une information est actuellement faite auprès de l'ensemble des parents dont les enfants ont été en contact avec cette jeune fille à l'école et à son club de sport"
Le méningocoque est un germe fragile qui ne survit pas dans le milieu extérieur.
L’infection à méningocoque est une maladie qui est rare * en France mais qui peut être grave. Il existe plusieurs sérogroupes (A, B, C, Y, W135…).
Elle se transmet directement d’une personne à une autre à partir de ces sécrétions (postillons, toux, etc.). L'incubation varie de 3 à 10 jours en moyenne. Elle touche essentiellement les enfants et les adolescents et survient, le plus souvent, du début de l’hiver et au printemps.
L'infection à méningocoque se manifeste principalement par de la fièvre élevée, des maux de tête, souvent accompagnés de vomissements. Parfois des tâches rouges ou violacées (purpura) peuvent apparaître sur le corps = URGENCE
Bien que le risque de transmission soit faible, il justifie la mise en oeuvre d'un traitement préventif pour les personnes en contact proche, étroit, complété par une vaccination selon le sérogroupe de la bactérie et le statut vaccinal de la personne.
OBSERVATIONS / RECTIFICATIONS :
DEUX-SEVRES : cas de méningite Mortel au lycée de Niort
Tout risque de contagion écarté
"Une cellule psychologique sera mise en place lundi au lycée. Je renconterai personnellement la maman du jeune qui est enseignante" fait savoir Franck Picaud, le directeur académique des Deux-Sèvres.
On rappelle que la méningite est une maladie peu contagieuse qui touche une personne sur 1.000. Elle n'est mortelle que dans un cas sur 10. La dernière fois que la maladie a tué dans les Deux-Sèvres, c'était en février 2015. La victime était déjà un jeune de 17 ans.
aRDECHE : Encore un cas de méningite Mortel dans un lycée
L'Agence régionale de santé a invité l'ensemble des personnes (évaluées à au moins 80) à être potentiellement entrées en contact "proche et prolongé" avec cette lycéenne à suivre un traitement antibiotique.Il s'agit notamment des proches, de ses camarades à l'internat et des membres de son club de basket à Hauterives.
Plus largement, l'ARS précise "une information est actuellement faite auprès de l'ensemble des parents dont les enfants ont été en contact avec cette jeune fille à l'école et à son club de sport"
Le méningocoque est un germe fragile qui ne survit pas dans le milieu extérieur.
L’infection à méningocoque est une maladie qui est rare * en France mais qui peut être grave. Il existe plusieurs sérogroupes (A, B, C, Y, W135…).
Elle se transmet directement d’une personne à une autre à partir de ces sécrétions (postillons, toux, etc.). L'incubation varie de 3 à 10 jours en moyenne. Elle touche essentiellement les enfants et les adolescents et survient, le plus souvent, du début de l’hiver et au printemps.
L'infection à méningocoque se manifeste principalement par de la fièvre élevée, des maux de tête, souvent accompagnés de vomissements. Parfois des tâches rouges ou violacées (purpura) peuvent apparaître sur le corps = URGENCE
Bien que le risque de transmission soit faible, il justifie la mise en oeuvre d'un traitement préventif pour les personnes en contact proche, étroit, complété par une vaccination selon le sérogroupe de la bactérie et le statut vaccinal de la personne.
OBSERVATIONS / RECTIFICATIONS :
PYRENNES-ATLANTIQUES : cas de méningite au lycée d'oloron
L’ensemble des personnes qui ont été en contact avec le malade doivent recevoir un « traitement par antibiothérapie.
MAYENNE : cas de méningite à l'école publique d' Azé
Traitement recommandé pour sept enfants
L'école d'Azé continue de fonctionner normalement. Par précaution, un traitement par anti-biotique a été recommandé par des infirmières pour huit personnes de l’entourage familial et sept enfants de la classe. Le méningocoque est une bactérie très fragile dont la transmission se fait uniquement de personne à personne (postillons ou salive par exemple) par contacts directs, prolongés et répétés avec le sujet malade.
L'inspection académique a été très réactive, avec une procédure très efficace. Marie Claire le Barzic est la médecin et conseillère technique à l'académie qui s'est occupée en partie de la jeune fille. "Il nous faut tout le temps définir dans un premier temps ce qu'on appelle les sujets-contacts. Ceux qui sont concernés par une éventuelle contagion, un éventuel risque d'avoir côtoyé la petite malade. Nous avons accompagnés, avec les infirmières scolaires, la directrice et les enseignants. Je dois dire qu'elles ont fait un excellent travail. Cette semaine deux infirmières était à l'école pour distribuer les courriers et discuter en tête-à-tête avec les familles pour répondre à toutes leurs questions" explique la professionnelle.
EURE : une petite fille fourdroyée par une méningite à Evreux
SOMME : une adolescente de 13 ans meurt d'une méningite foudroyante
Les médecins de l'Agence Régionale de Santé ont procédé à une enquête épidémiologique, comme c'est l'usage dans ce type de maladie, pour déterminer qui dans l'entourage de l'adolescente avait été en contact proche, prolongé et répété avec elle. Les personnes ainsi identifiées ont reçu un traitement préventif par antibiotiques. Celles qui ont approché la victime mais qui n'ont pas été contactées par l'ARS ne présentent aucun risque.
Le type de méningite à laquelle a succombé la jeune fille n'est pas encore déterminé. Lorsqu'il aura été identifié et en fonction de sa souche, une vaccination sera proposée aux personnes déjà traitées.
La méningite est provoquée par une bactérie appelée méningocoque présente dans la gorge. Elle se transmet uniquement de personne à personne par des contacts directs, répétés et rapprochés. Le risque de transmission est donc relativement faible. Dans la majorité des cas, la personne contaminée ne développe pas de maladie.
Les symptômes sont chez l’adulte et l’adolescent : une fièvre supérieure à 38°5 possiblement associée à des maux de tête, une gêne à la lumière, des nausées ou des vomissements, une raideur de nuque. Si l’un de ces signes d’alerte apparaît : appeler le 15 ou le médecin traitant.
Une méningite tue en moins de 24 heures... et ça n'arrive pas qu'aux autres ! De tels drames ne devraient plus se produire !!!! L'information est encore insuffisante, la prévention quasi inexistante. Aidez-nous à continuer ce combat pour que nous ne puissions plus voir ces vies brisées.
DIJON : cas de méningite mortel
SAINT-QUENTIN-dE-BARON : cas de méningite chez un enfant
Identifier les personnes ayant été en contact direct avec le malade
Le risque de transmission de la méningite à méningocoque ne concerne en effet que les sujets ayant été en contact direct avec un malade dans les 10 jours précédant l’apparition des symptômes. Cette bactérie est fragile et ne se transmet pas facilement en dehors de contact étroit et de promiscuité avec une personne infectée, par l’intermédiaire de gouttelettes de salive ou de sécrétions naso-pharyngées (toux, éternuements, baiser…). Ces infections ne se transmettent donc pas aussi facilement qu’un rhume ou la grippe. Un traitement antibiotique préventif leur est alors proposé. Il n’y a pas lieu de prendre des mesures particulières de désinfection ou de fermeture des locaux.
BEAUVAIS : cas de méningite Bactérienne au lycée Truffaut
NOS REMARQUES !
Méningite maitrisée peut-être : mais période incubation pour cette maladie infectueuse ...
Elève victime en état stable : quelles séquelles ?
Une fois de plus, la rédaction ne correspond pas à la réalité. La méningite est une maladie infectieuse, contagieuse et foudroyante dont on peut se protéger avec la vaccination : 2 décès à l'université de Dijon en octobre et décembre 2016, 1 décès à l' université de paris en mai 2017 ....
Ce simple rappel sur la méningite et ses vaccins contribuerait à faire connaître cette maladie aux familles et ainsi protéger nos enfants, nos adolescents et nos jeunes adultes. "On ne meurt pas à 18 ans, à 20 ans..."
Le combat de l'association petit ange ensemble contre la méningite.
Annie Hamel, secrétaire adjointe de l'association petit ange eclm
DINAN : Deux cas de méningite détectés dans un lycée
Une quarantaine de personnes d'un hameau près de Grasse, dans les Alpes-Maritimes, ont reçu un traitement préventif après qu'un jeune homme de 28 ans du village est mort d'une méningite de type C dans la nuit de mardi à mercredi. Voici ce qu'il faut savoir sur cette maladie.
Quel type d'infection frappe la France ?
Une infection à méningocoque, ou méningite, est une infection due à des bactéries appelées méningocoques qui s'attaquent aux fines membranes enveloppant le cerveau et la moelle épinière. Très grave, elle peut provoquer la mort dans 50% des cas si elle n'est pas soignée à temps, et entre 5 et 10 % des malades décèdent même s'ils sont soignés. En France, les méningites les plus fréquentes sont les méningites de type B et C. La B étant la plus répandue en Europe et en Amérique du Nord. Elles frappent en particulier les enfants et les jeunes adultes, comme ça a été le cas entre octobre et décembre 2016 Dijon. En 2015, 469 infections invasives à méningocoque ont été notifiées, selon l'InVS. Parmi ces cas, 53 patients (11%) sont décédés.
Des mesures de précaution sanitaire ont été mises en place dès mercredi matin.Les habitants du hameau ont fait l'objet d'une vaccination.
ORLEANS: une lycéenne décède brutalement
Face à cette suspicion le rectorat a mis en place des mesures d'information aux familles. Une cellule d'écoute a été déployé ce matin au lycée Saint-Charles. Une note d'information en direction de toutes les familles est partie dans la journée. Les parents d'élèves de terminale ont été conviés le lundi 3 avril dans la soirée à une réunion d'information.
Source : la république du centre
Message de l'association petit ange :
Toutes nos condoléances à la famille de la jeune fille.
NORTKERQUE : Cas dans une école du Pas-de-calais
Des nouvelles rassurantes qui apaisent le trouble ressenti par les parents d’élèves à la lecture d’un courrier de l’agence régionale de santé (ARS), jeudi. Ce courrier leur apprenait qu’un cas de méningite à méningocoque avait été déclaré dans l’établissement scolaire que fréquente leur enfant.
« Forcément, dès que des parents entendent parler de méningite, ils s’inquiètent », constate Frédéric Melchior. L’édile estime cependant que tout a été fait rapidement pour les rassurer. « L’ARS nous a très vite tenus au courant de la problématique et nous a bien expliqué qu’il n’y avait pas de danger particulier. On s’est tout de suite mis en rapport avec la directrice de l’école pour échanger les informations et rassurer tout le monde. »
Antibiotique
Le risque de transmission d’une méningite à méningocoque est en effet jugé « faible et il n’est pas nécessaire d’isoler les personnes ayant été en contact avec un malade », assure le site info-meningocoque.fr. Par mesure de précaution, un traitement antibiotique a été prescrit aux élèves en contact avec l’enfant porteur de l’infection, ainsi qu’au personnel de l’école. Malgré cela, l’établissement a continué à fonctionner normalement et la mairie n’a pas relevé d’absentéisme anormal. « Tout est résorbé », rassure le maire.
Source : La Voix du Nord
GARBEJAIRE : Cas de méningite dans une école azuréenne
Dans cette note à en tête de l'Agence régionale de santé, sont rappelés quelques éléments concernant cette maladie. « Peu contagieuse, elle se transmet par contact direct avec la salive du sujet infecté (la toux, l'éternuement, le baiser sur la bouche). Pour que le germe se transmette, il faut des contacts directs, de personne à personne, en face à face, répétés, prolongés, à une distance de moins d'un mètre.»
En école primaire, les sujets à traiter selon les recommandations du Conseil supérieur d'hygiène publique de France, sont « les voisins de classe et les amis proches. »
Pour les autres élèves de l'école, les enseignants et le personnel des autres classes, le traitement « n'est pas recommandé. »
Par ailleurs, toujours selon le document officiel qui a été communiqué, « il n'y a pas besoin de désinfection des locaux ou des objets car le méningocoque est un germe fragile qui ne survit pas à l'air libre. »
La mairie a profité de cette note pour rappeler que depuis 2010, le vaccin contre le méningocoque C est conseillé pour tous les enfants, adolescents et jeunes adultes de âgés 1 à 24 ans, à raison d'une dose unique pour cette tranche d'âge.
Il est, par ailleurs, remboursé.
Nous précisons qu'il existe aussi un vaccin pour la méningite à méningocoque de type B (la plus fréquente en France). Il est recommandé mais pas remboursé pour tout le monde et nous le regrettons vivement.
Source : Nice Matin
ROMILLY SUR SEINE : Cas de méningite
Source : Eclair.fr
BRETAGNE : une fillette de 5 ans succombe à une méningite
La petite fille de cinq ans et demi a succombé à une méningite, une "infection invasive à méningocoques B".
Une cellule psychologique et des mesures préventives
Dès mardi en début d'après-midi, les parents de l'école de Pouldergat, près de Douarnenez, où la petite fille est scolarisée en grande section ont été invités à venir rechercher leurs enfants. Une cellule psychologique a été mise en place ce mercredi matin dans l'école.
Un traitement préventif compliqué à trouver
L'ARS cherche désormais à identifier toutes les personnes qui ont été en contact avec la petite victime ces dix derniers jours. Ils seraient une soixantaine. Une fois identifiées, elles recevront un traitement préventif. Du sirop ou des gélules qui étaient déjà difficiles à trouver dans le secteur de Douarnenez ce mercredi.
Source : France Bleu
Message de l'association petit ange :
Nous sommes tristes de constater qu'une petite fille de 5 ans vient de quitter définitivement sa famille à cause d'une maladie tueuse et foudroyante, qu'aucune information ne circule expliquant aux parents qu'il existe un vaccin contre ce type de méningite B, que l'on pourrait éviter ces drames .... qu'il faut faire de la prévention AVANT.
Toutes nos pensées vont vers les parents de ce petit ange que la vie vient de leur reprendre si injustement !
CHÂLONS EN CHAMPAGNE : Cas d'une fillette de 2 ans
L’enfant fréquente la crèche Louise-Michel à Châlons-en-Champagne. Aussitôt le diagnostic connu, les services de l’Agence régionale de santé et la direction de la crèche ont identifié les personnes ayant été en contact prolongé et rapproché avec l’enfant (enfants et personnels de la moyenne section de la crèche).
Les parents concernés ont reçu un courrier pour leur expliquer la situation. Un second courrier a été envoyé au médecin traitant qui prescrira le traitement préventif par antibiotique.
"Le méningocoque est un germe fragile qui se transmet uniquement d’une personne à l’autre lors de contacts directs (face à face), proches (moins d’un mètre) et prolongés ou répétés", précise l'Agence régionale de Santé. Il ne survit pas en dehors du corps humain, il ne reste ni dans l’air ni sur les objets. Un verre, une bouteille, une cuillère, un téléphone, un jouet ne transmettent pas le méningocoque, même en passant rapidement d’une bouche à l’autre."
"Par conséquent, seuls les parents qui ont reçu un courrier sont invités à consulter leur médecin traitant", ajoute l'organisme de santé. "Aucune mesure particulière, comme la fermeture de l'établissement fréquenté par l'enfant, n’est nécessaire."
Source : France 3
RHONE ALPES : Cas détecté dans une maternelle
Source : Le Progrés.fr
CORSE : Un bébé de 3 mois meurt suite à une méningite
Le bébé avait été admis aux urgences, accompagné de ses parents, avec une forte fièvre et des
C'est la deuxième fois en quelques jours que la méningite emporte un bébé : le 16 janvier à Saintes (Charente-Maritime), un nourrisson de 7 mois était mort des suites d'une méningite de type C (article ci-dessous)
Le méningocoque est un germe très fragile qui ne survit pas dans l'environnement mais se transmet par la salive. La méningite se traduit par une fièvre, des maux de tête, une raideur de nuque avec des vomissements et une gêne à la lumière.
Source : Le figaro
Message de l'association petit ange :
*ERREUR DANS L'ARTICLE (le figaro / l' express ...)
Ce ne sont pas des PUSTULES... NON ni des boutons, ni des pustules... mais des tâches rosâtres au début de la grosseur d'une tête d'épingle qui grossissent en deviennent violettes, comme des bleus, des coups donnés !
Le véritable nom est : pétéchie
Le purpura fulminans, c'est la forme la plus grave des méningites, un cas d'urgence absolue et les parents devraient tous reconnaître ce symptôme !!!
Condoléances sincères à la famille et aux proches.
CHARENTE MARITIME : Un bébé de 7 mois succombe à une méningite
Ses proches et les professionnels de santé qui ont été en contact avec l’enfant ont eu un traitement antibiotique préventif, le risque de transmission de la méningite de type C restant cependant faible, a précisé l’ARS dans un communiqué.
Source : 20 minutes
Message de l'association petit ange :
L' ARS ne souhaite pas être "alarmiste"...
Pour notre part, nous rapelons que si la transmission est faible, elle existe bien (un à deux cas par jour en France) et lorsque la bactérie est transmise, c'est l'état d' URGENCE ABSOLUE !!!! un enfant peut décéder en moins de 24 heures après les premiers symptômes. Il est tout de même utile de le rappeler et également de souligner qu'il existe un vaccin contre cette forme de méningite et qu'il est vivement recommandé.
Toutes nos pensées pour la famille et es proches que ce drame va, à nouveau, briser...... condoléances sincères.
LYON : Un cas de méningite dans une maternelle
Dans un premier temps, toutes les personnes ayant eu un contact rapproché avec la petite malade au cours des dix derniers jours - soit 85 enfants qui faisaient partie de sa classe ou déjeunaient comme elle à la cantine ainsi que 7 adultes - ont reçu un traitement antibiotique préventif.
Une campagne de vaccination pourrait désormais être organisée en début de semaine prochaine, en liaison avec le Comité départemental d’hygiène sociale, pour les enfants qui ne sont pas vaccinés. « La recommandation est d’effectuer la vaccination dans les 10 jours qui suivent la déclaration de la maladie, elle peut donc être effectuée jusqu’au milieu de la semaine prochaine », explique l’ARS qui précise qu’à ce jour « tous les contacts ont été identifiés ».
Source : le progrés.fr
DROME : Un trentenaire décède d'une méningite !
La confirmation du décès est intervenue samedi par le pôle de Santé publique de Privas, qui rapportait l'information de l'Agence régionale de Santé (ARS). Jeudi en milieu d'après-midi dans la Drôme, un homme d'une trentaine d'années a succombé à une infection invasive à méningocoque (méningite), trente minutes après avoir été admis aux urgences du centre hospitalier de Montélimar.
Le trentenaire souffrait de violents maux de tête et les médecins se sont, semble-t-il, trouvés dans l'incapacité de pouvoir y répondre pour maintenir le patient en vie (via Dauphiné Libéré)
Méningite mortelle dans la Drôme : "contagieuse mais"...
Et d'indiquer, s'il fallait le préciser une nouvelle fois, "que cette bactérie ne survit pas à l’extérieur du corps de l’Homme".
Inquiétudes après les deux décès de Dijon
Il y a un peu plus d'une semaine, l'ARS Bourgogne-Franche-Comté faisait état de trois cas de méningite observés dans la région entre octobre et décembre. Des infections invasives à méningocoque qui avaient touché trois étudiants, dont deux sont depuis décédés avec le troisième qui, aux dernières nouvelles, se dirigeait vers un rétablissement.
Source : 24 matins